Soma 350 mg 500 mg

Soma est un relaxant musculaire qui agit en bloquant les sensations de douleur entre les nerfs et le cerveau. Ce médicament est utilisé conjointement avec la thérapie du repos, ainsi que la physiothérapie pour traiter les blessures et autres troubles musculo-squelettiques douloureux.

Soma peut également être utilisé à d’autres fins qui ne figurent ne pas dans ce guide de médicament.

Soma (Carisoprodol) est utilisé à court terme pour traiter les malaises et douleurs musculaires. Il est habituellement utilisé avec repos, physiothérapie et autres traitements. Il fonctionne en aidant à détendre les muscles.

Soma (Carisoprodol) est utilisé conjointement avec le repos et la physiothérapie pour traiter les blessures et autres troubles musculo-squelettiques douloureux.

Soma (Carisoprodol) peut également être utilisé à d’autres fins qui ne figurent ne pas dans ce guide de médicament.

Ce médicament est connu sous d'autres noms entre autres: CARISOPRODOL, Pain-O-Soma, Pro-SOMA.

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Soma est utilisé à court terme pour traiter les malaises et douleurs musculaires. Il est habituellement utilisé avec repos, physiothérapie et autres traitements. Il fonctionne en aidant à détendre les muscles.

Acheter soma générique sans ordonnance - Posologie

Prenez ce médicament par voie orale avec ou sans nourriture, généralement 4 fois par jour, tout en respectant les prescriptions du médecin. Notez que le dosage est basé sur votre état de santé et de la réponse au traitement. Évitez de modifier la posologie ou la durée du traitement sans l'avis du praticien, car a défaut d’améliorer votre état de santé, cela pourra augmenter le risque d’effets secondaires.

Ce médicament peut provoquer des réactions de sevrage, surtout s'il est utilisée régulièrement pendant une longue période ou à des doses élevées. Dans de tels cas, les symptômes de sevrage tels que des crampes d'estomac, des troubles du sommeil, maux de tête, nausées, peuvent se produire si vous arrêtez brusquement de prendre ce médicament. Pour éviter des réactions de sevrage, votre médecin peut réduire votre dose progressivement. Consultez votre médecin ou votre pharmacien pour plus de détails, et signaler toute réaction de retrait immédiatement.

En plus de ses avantages, ce médicament peut rarement provoquer une addiction. Ce risque peut être augmenté si vous avez abusé de l'alcool ou des produits stupéfiants dans le passé. Prenez ce médicament exactement comme prescrit pour réduire le risque de dépendance. Informez le médecin si votre état persiste après 2 à 3 semaines de traitement, ou s'il se détériore.

Possibles effets secondaires soma générique

Obtenir de l’aide médicale d’urgence si vous avez un de ces signes de réaction allergique suivants: l'urticaire; Difficulté à respirer; gonflement de votre visage, lèvres, langue ou gorge. Cessez d’utiliser Soma et appelez votre médecin immédiatement si vous avez un des effets secondaires graves tels que, la paralysie (perte de la sensibilité); extrême faiblesse ou le manque de coordination; étourdissement, évanouissement; rythme cardiaque rapide; saisies; perte de la vision; agitation, confusion.

Des Effets indésirables moins sérieux peuvent inclure: la somnolence, les vertiges, tremblements; maux de tête; dépression; vision floue; troubles du sommeil (insomnie); ou nausées, vomissements, hoquet, maux d’estomac. Etc… Prenez soin d'informer votre médecin de tout effet secondaire inhabituel ou gênant.

SOMA a des propriétés sédatives et pouvant altérer les capacités mentales et / ou physiques requises pour l'exécution de tâches potentiellement dangereuses telles que la conduite d'un véhicule à moteur ou des machines d'exploitation.

Des rapports post-commercialisation ont indiques des accidents de véhicules à moteur associés à l'utilisation de SOMA. Étant donné que les effets sédatifs de SOMA et d'autres dépresseurs du Système nerveux central (par exemple, l'alcool, les benzodiazépines, les opioïdes, les antidépresseurs tricycliques) peuvent être additifs, la prudence appropriée doit être exercée chez les patients qui prennent plus d'un de ces dépresseurs du SNC simultanément.

L'abus de SOMA expose au risque de surdosage qui peut conduire à la mort, troubles du système nerveux central, la dépression, l'hypotension, des convulsions, et d'autres troubles. Des cas d'abus de carisoprodil ont été signaler lors des test Post-commercialisation du médicament, des crises de dépendance ont été rapportés chez des patients ayants effectuer une utilisation prolongée du produit, ainsi que ceux ayant des antécédents médicaux lie a la consommation et l'abus de drogues et autres stupéfiants. Bien plus, des symptômes de sevrage ont été rapportés après l'arrêt brutal du SOMA après une utilisation prolongée.

Les symptômes de sevrage les plus rapportés sont: l'insomnie, vomissements, douleurs abdominales crampes, maux de tête, tremblements, spasmes musculaires, ataxie, hallucinations et psychose. L'un des métabolites de carisoprodol est la méprobamate (une substance contrôlée), pouvant également entraîner une dépendance. Pour réduire les risques d’abus de SOMA, évaluer les risques d’abus avant de prescrire. Après la prescription, limiter la durée du traitement de 3 semaines pour le soulagement de l’inconfort musculo-squelettique aiguë, tenir des registres de prescription, surveiller les signes d’abus, de surdose et éduquer les patients et leurs familles sur les abus, l’aliénation et la bonne conservation.

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Les dépresseurs du Système nerveux central (SNC)

Les effets sédatifs de SOMA et d'autres dépresseurs du SNC (par exemple, l'alcool, les benzodiazépines, les opioïdes, les antidépresseurs tricycliques) peuvent être additifs. Par conséquent, il faut être prudent avec les patients qui prennent plus d'un de ces dépresseurs du SNC simultanément. L'utilisation concomitante de SOMA et méprobamate, un métabolite de la SOMA, est déconseillée. Les inhibiteurs CYP2C19 et les inducteurs Soma sont métabolisés dans le foie par le CYP2C19 pour former le méprobamate [voir PHARMACOLOGIE CLINIQUE].

L'administration concomitante des inhibiteurs du CYP2C19, tels que l'oméprazole ou la fluvoxamine, avec SOMA pourrait entraîner une exposition accrue de carisoprodol et une diminution de l'exposition de méprobamate. La co-administration d'inducteurs du CYP2C19, tels que la rifampicine ou le millepertuis, avec SOMA pourrait entraîner une diminution de l'exposition de carisoprodol et l'exposition accrue de méprobamate. L'aspirine à faible dose a également montré un effet d'induction sur le CYP2C19. L'impact pharmacologique complète de ces modifications potentielles de l'exposition en termes d'efficacité ou la sécurité de SOMA est inconnue.

L'abus de Soma pose un risque de surdosage qui peut conduire à la mort, dégradation du système nerveux central et la dépression, troubles respiratoires, l'hypotension, des convulsions et d'autres troubles. Les patients à risque élevé d'abus sont généralement ceux ayant effectuer une utilisation prolongée de carisoprodol, et ayant des antécédents d'abus de drogues, ou des personnes qui utilisent SOMA en combinaison avec d'autres médicaments. La toxicomanie, qui se développe après l'abus répété de drogue, se caractérise par un fort désir de prendre un médicament en dépit des conséquences néfastes, la difficulté à contrôler son utilisation, en donnant une grande priorité à l'usage de drogues, une tolérance accrue, et parfois des crises de sevrage. L'abus de drogues et la toxicomanie sont distincts de la dépendance physique et la tolérance (par exemple, l'abus ou la dépendance ne peut être accompagnée par la tolérance ou la dépendance physique).

La tolérance de la dépendance se manifeste lorsque la réaction d'un patient à une dose spécifique est progressivement réduite en l'absence de progression de la maladie, ce qui nécessite une augmentation de la dose. La dépendance physique est caractérisée par des symptômes de sevrage après l'arrêt brusque ou une réduction significative de la dose d'un médicament. La tolérance et la dépendance ont été rapportés avec l'utilisation prolongée de SOMA. Les symptômes de sevrage rapportés avec SOMA incluent l'insomnie, des vomissements, des crampes abdominales, des maux de tête, des tremblements, des spasmes musculaires, l'anxiété, l'ataxie, les hallucinations et la psychose.

Les médecins doivent prendre le temps pour informer les patients des risques qu'ils encourent lorsque ces derniers décident de modifier la posologie et la durée du traitement sans l'avis et le suivi des praticiens.